La permanence d'une députée vandalisée

« Je ne céderai jamais devant ceux qui utilisent la menace et la peur.»

Sur sa page Facebook, Anne-Sophie Frigout affiche sa détermination et sa colère après les dégradations contre sa permanence parlementaire la nuit dernière à Reims.

Plusieurs vitrines ont été brisées, des bouteilles d’excréments lancées à l’intérieur et des tags insultants inscrits sur la façade.

La députée européenne RN dénonce « une tentative d’intimidation politique de l’ultra-gauche violente qui sévit à Reims ».

Elle pointe également du doigt la mairie qui a, selon elle, créé « le terreau sur lequel prospèrent ceux qui se croient tout permis ».

« Ces exactions lâches ne m’impressionnent pas ; elles renforcent ma détermination à devenir maire de Reims et à siffler la fin de la récréation », conclue la députée, candidate déclarée aux prochaines élections municipales. 

Une enquête est ouverte pour retrouver le ou les auteurs de ces dégradations.